Six raisons de voter Ian Brossat le 26 mai

Raison n°1 : le PCF est le seul parti qui ne s’est jamais trompé sur l’Europe.

Les électeurs de gauche hésitants peuvent faire crédit au PCF d’être un repère dans ce débat européen. Car beaucoup de partis et de responsables politiques à gauche se sont illusionnés. On nous avait promis l’Europe sociale, on nous avait juré que les traités européens permettraient enfin de construire une union politique avec une harmonisation des droits par le haut. Nous avons assisté à l’exact inverse.

Raison n°2 : le solide bilan des eurodéputés PCF sortants.

De l’avis général, Patrick Le Hyaric, Marie-Pierre Vieu et Marie Christine Vergiat ont mené le combat avec constance et courage à Strasbourg et à Bruxelles durant la mandature qui vient de se clore. Ils ont remporté des victoires, ils ont pesé de tout leur poids sur des dossiers écologiques.

 

Raison n°3 : la seule liste qui compte 50 % d’ouvriers et d’employés

La liste conduite par Ian Brossat est la seule à permettre l’élection de la première députée européenne ouvrière depuis 30 ans. La voix de Marie-Hélène Bourlard détonne. Dans l’arène politique, on n’est plus habitué à entendre ces hommes et ces femmes qui ont travaillé à l’usine, qui connaissent la réalité des petits salaires, des horaires fractionnés et des batailles contre les plans sociaux. L’élection de Marie-Hélène Bourlard serait une énorme victoire symbolique.

 

Raison n°4 : la seule liste qui permet d’élire quatre eurodéputés qui ne lâcheront rien.

Ian Brossat était encore un relatif inconnu il y a quelques semaines. Mais durant cette campagne, il a surpris et émergé en montrant une chose : sa constance à ne rien céder face aux représentants d’En Marche et de l’extrême droite. Il a mouillé la chemise pour démasquer un à un les mensonges du Président, de ses ministres et des petits télégraphistes qui relaient la bonne parole élyséenne. Dans cette campagne, il a montré qu’il sera un parlementaire européen intraitable, à la voix forte, prête à ne rien laisser passer, à lancer l’alerte chaque fois que nécessaire. Ian n’est pas tout seul. Il est entouré d’hommes et de femmes de grande valeur.

Lorsque nous avons commencé cette campagne, la liste du PCF était donnée à 1 % dans tous les sondages. Elle est désormais toute proche de la barre fatidique des 5 % (4 % dans le dernier sondage OpinionWay). C’est la seule liste de gauche à avoir connu une telle progression dans les intentions de vote. Donner sa voix à Ian Brossat, c’est un vote utile : pouvoir faire élire directement au moins quatre députés de gauche au Parlement européen.

 

Raison n°5 : la seule perspective de reconstruire une gauche rassembleuse.

La liste du PCF s’est singularisée par une chose : elle a tendu la main au reste de la gauche. Ça, toutes les listes le disent. Mais la liste de Ian Brossat est la seule à avoir refusé d’agresser quiconque à gauche. Nous nous sommes soumis au devoir de ne pas taper sur nos petits camarades, et nous l’avons respecté scrupuleusement. On ne peut pas en dire autant de tout le monde. Et si nous l’avons fait, c’est parce que nous savons qu’après le 26 mai, il faudra reconstruire la gauche. Une gauche à même d’exercer à nouveau des responsabilités locales et nationales. Nous n’avons pas l’intention de laisser le pays continuer à vivre au rythme du faux duel entre Macron et Le Pen.

 

Raison n°6 : la seule belle surprise de la campagne !

Enfin, comment ne pas le souligner ? La campagne de Ian Brossat est la seule belle surprise de cette élection européenne. Ce ne sont pas seulement les communistes qui le disent. Nous avons reçu de très nombreux messages de toute la gauche, et même au-delà. Des messages de sympathie, d’encouragements, de soutiens, d’hommes et de femmes agréablement surpris par l’arrivée d’un vent nouveau, prêts à voter PCF pour la première fois.

 

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