Puy-de-Dôme: Caravane des jours heureux

Jeudi 25 novembre, à la salle La Muscade de Blanzat, les communistes ont inauguré la Caravane des jours heureux du Puy-de-Dôme, prolongement de la caravane estivale de notre candidat à l'élection présidentielle Fabien Roussel !

La caravane des jours heureux aux couleurs de la campagne de Fabien Roussel, candidat du PCF à l’élection présidentielle de 2022, entame une nouvelle série d’étapes dans le Puy-de-Dôme. Autant d’occasions d’aller, à raison d’une fois par semaine, à la rencontre des habitantes et des habitants du territoire pour recueillir leurs revendications, leurs préoccupations, leurs besoins… et faire connaître et populariser les propositions du candidat communiste.


Nous savons à quel point la vie est dure pour les jeunes, les salarié·e·s, les privé·e·s d’emploi, les retraité·e·s et parmi elles et eux, nombre de nos camarades. C’est pourquoi nous voulons des réformes populaires, de justice sociale, pour améliorer nos vies et mettre fin aux inégalités, redonner sa dignité au monde du travail et redresser notre pays, insuffler de l’espoir à la jeunesse et relever, ensemble, le défi des jours heureux.


Ce tour du département est porté et animé par les militantes et les militants du PCF, un parti aux racines populaires, ancré dans l’histoire des luttes sociales, des luttes pour la liberté et la souveraineté des peuples, ancré partout dans le pays grâce à ses adhérent·e·s et ses élu·e·s.


Le parcours de la caravane a été dévoilé jeudi 25 novembre à la salle La Muscade de Blanzat, ville communiste de la métropole clermontoise, par le maire Richard Bert et le secrétaire fédéral du Puy-de-Dôme Pierre Miquel. Afin de donner une dimension festive à cette soirée militante et planter le décor de ces jours heureux que nous voulons construire, le groupe Oum Tcha et son swing jazz étaient de la partie.


Pour relever le défi des jours heureux, nous nous attelons aux sujets de préoccupation quotidienne des gens : travail, pouvoir d’achat, retraites, réindustrialisation du pays, services publics, avenir de la jeunesse… Nous voulons la retraite à 60 ans avec prise en compte des années d’études, nous voulons la revalorisation des salaires et l’augmentation du SMIC, nous voulons investir dans l’école et l’hôpital public avec des embauches massives et des salaires décents.


Au-delà du slogan, notre désir est d’imprégner chacune de nos initiatives d’une énergie heureuse de rassemblement pour renverser le capitalisme et lui opposer des contre-propositions.
Sortir des logiques de domination, d’emprise et de violence, c’était justement le thème de la journée du jeudi 25 novembre. À Clermont-Ferrand, comme partout en France et dans le monde, un rassemblement avait lieu pour dénoncer les violences faites aux femmes.


Contre ces maux qui gangrènent la société et brisent des vies et pour surmonter la fatalité ambiante, au PCF, nous luttons et nous agissons.


Loin d’alimenter la division à gauche, nous travaillons à des propositions innovantes et ambitieuses au service de l’intérêt général pour faire revenir aux urnes les oublié·e·s, les méprisé·e·s et les déçu·e·s de la politique. Avec nos propositions résolument tournées vers le bonheur et l’épanouissement des femmes et des hommes qui produisent les richesses de notre pays, et non vers la rentabilité aveugle du capital, nous nous adressons aux classes populaires et aux classes moyennes en démontrant qu’il est possible de vivre mieux tout en relevant le défi du climat et en étant à la pointe d’une mondialisation de coopération, respectueuse des peuples.


Pour joindre le geste militant aux paroles d’espoir de notre soirée festive, les communistes se sont massivement mobilisé·e·s le week-end des 27 et 28 novembre avec pas moins de 8 marchés solidaires à travers le département. Soit une centaine de militant·e·s puydômois·es au service de près d’un millier de citoyen·ne·s. À Riom, Romagnat, Auzat-la-Combelle, Clermont-Ferrand, Aubière, Vic-le-Comte, Courpière, La Monnerie-le-Montel et Thiers, des ventes de fruits et légumes locaux, de saison et de qualité étaient ainsi proposés à prix coûtant.


Une manière active de promouvoir une alimentation saine, accessible à toutes et tous, et une juste rémunération des productrices et des producteurs.


Pierre Miquel