Un muguet pas comme les autres

Ce 1er Mai 2020 est sous le sceau de la crise sanitaire qui frappe le monde. Ce 1er Mai révélera avec beaucoup de violence les inégalités, l’exploitation, la spoliation des droits des salariés… au travers de la planète et de notre pays. Depuis 1890, cette date donne lieu à des manifestations pour les droits des salariés et marque la solidarité internationale aux quatre coins du monde.

 

C’est en 1947 que ce jour deviendra chômé et payé en France.

Depuis le début du confinement, les communistes, militant·e·s, élu·e·s sont mobilisé·e·s pour organiser la solidarité, y participer, pour répondre aux urgences sociales. Elles et ils portent nos propositions pour protéger les populations, sortir de cette crise sanitaire et économique. Là où elles et ils sont élus, dans les collectivités communales, départementales, régionales, ils sont mobilisés au service des populations, souvent les plus défavorisées. Les parlementaires communistes à l’Assemblée nationale, au Sénat se battent d’arrache-pied pour que soient investis les moyens et les richesses au service des citoyens et des salariés.

Certes, nous ne pouvons pas nous retrouver dans la rue, sur les trottoirs, au porte-à-porte pour manifester, mais nous pouvons continuer à utiliser les réseaux sociaux, les balcons… pour le faire.

Pour la vente du muguet que les communistes proposent, il en va de même.

Pour financer cette mobilisation politique pour « l’humain et la planète d’abord », les militant·e·s communistes peuvent envoyer à leurs voisins, collègues de travail un lien (pcf.fr, une adresse) leur permettant de verser en ce 1er Mai aux organisations locales du PCF.

Plus que jamais, même virtuel, le brin de muguet, symbole de lutte, d’espoir, de bonheur, est d’actualité.

Denis Rondepierre, trésorier national du PCF