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Le 25 mai prochain, les Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem-Est occupés et de Gaza sont appelés à élire un nouveau Parlement. Une étape qui pourrait être de poids pour retrouver la voie d'une parole palestinienne audible.

La France, et plus largement l’Union européenne ont dans ce domaine une responsabilité considérable qu'elles devraient assumer dignement en aidant par tous les moyens à l'expression de cette parole, en exigeant pas exemple que soit assurée la liberté de vote de tous les Palestiniens de Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est, mais aussi de la diaspora des exilés et réfugiés, comme l'a rappelé Leila Shahid.