Récente résolution de la Commission des droits de l’homme de l’ONU

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Les autorités françaises doivent tirer des conséquences actives de leur vote en faveur la récente résolution de la Commission des droits de l'homme de l'ONU dénonçant les exactions israéliennes dans les territoires occupés en commençant à par le refus, par exemple, d'importations de biens qui y sont produits par les occupants.

Elles devraient aussi se conformer à la décision de la Cour européenne des droits de l'homme confirmant qu'appeler à ce boycott est licite.

De même, on attend avec impatience qu'elles proclament leur soutien actif à l'enquête ouverte par la Cour pénale internationale sur les crimes de guerre en Israël et Palestine occupée.

Et, afin d'apporter son soutien au droit inaliénable à l'autodétermination des Palestiniens sous occupation israélienne, le gouvernement français doit reconnaître l’État de Palestine comme l'y invite le Parlement français dans sa résolution du 2 décembre 2014.

Michel Muller
membre du collectif Palestine du PCF